jeudi 27 octobre 2011

Nâzim Hikmet




Mon amour,
ce bruit de pas, ce massacre, et pourtant...


J'ai souvent perdu et ma liberté et mon pain,

je t'ai souvent perdue,

toi aussi,

mais du plus profond de la faim,

du plus profond des ténèbres,

du plus profond des clameurs,

je n'ai jamais perdu espoir dans les jours qui viendront,

qui viendront frapper à notre porte de leurs mains rayonnantes de soleil...

*

Bibliographie

- Paysages humains, éditions La Découverte, 1987

- C'est un dur métier que l'exil..., éditions Le Temps des Cerises, 1999

- Nâzim Kikmet (1902-1963), l'immensité intime, Revue Poésie, n° 92 2002


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