Je regarde les blanches roches sources muettes des vents
Et l'immobilité des firmaments
Et les ruisseaux gonflés qui vont pleurant
Et les ombres du labeur humain courbées sur les tertres glacés
Et puis de lointaines ombres claires courant dans les tendres cieux
Et toujours je t'appelle je t'appelle Chimère.
*
Bibliographie
- Chants Orphiques, éditions Via Valeriano, 1992
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