mardi 20 décembre 2011

Rainer-Maria Rilke


Une seule chose est nécessaire: la solitude. La grande solitude intérieure. Aller en soi-même, et ne rencontrer durant des heures personne, c'est à cela qu'il faut parvenir.

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Cela me vient en observant ceci : que nous sommes encore à peindre les hommes sur fond d'or, comme les tout premiers primitifs. Ils se tiennent devant l'indéterminé. Parfois de l'or, parfois du gris. dans la lumière parfois, et souvent avec, derrière eux, une insondable obscurité.

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Bibliographie


  • La Panthère, Revue Poésie, n°81, 2000


  • Notes sur la mélodie des choses, éditions Allia, 2014



  • Lettres à un jeune poète, éditions Grasset, Les cahiers Rouges, 1988 et, éditions La Bibliothèque des Arts, 1990

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