lundi 19 décembre 2011

Myriam Revault d'Allonnes


Le souci pour l'autre est partie prenante du souci de soi. C'est pour ne pas souffrir moi-même que je ne veux pas que l'autre souffre, et je m'intéresse à lui pour l'amour de moi. La pitié est bonne pour moi autant que pour les autres.

*

Bibliographie

- L'homme compassionnel, éditions du Seuil, janvier 2008.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Qui que vous soyez, vous êtes le bienvenu, avec vos commentaires qui sont modérés. Il vous faudra attendre avec patience leur modération pour les voir apparaître au bas de chaque article. Merci de votre compréhension