dimanche 28 août 2011

Maria Ângela Alvim



A suave nanhã comoveu as pedras, brilham os caminhos dos homens.
Ninguém se perdeu.
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La douceur du matin a ébranlé les pierres, brillent les chemins des hommes.

Nul ne s'est perdu.

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Bibliographie

- Poèmes d'août, éditions Arfuyen, 2000

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