La dépolitisation
s’accompagne de deux phénomènes : une abstention grandissante et un
accroissement des votes apeurés, reposant sur la xénophobie. Il n’y a plus de
passion politique : la seule passion possible, aujourd’hui, c’est la peur.
Les gens ont peur de perdre le peu qu’ils ont ; ils ont peur que des gens
venus d’ailleurs viennent leur prendre leur bien, leur maigre bien.
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Le discours
raciste, on ne le conteste jamais assez et on ne l’a pas assez combattu à
gauche.
*
Le racisme, il faut
le combattre dans l’œuf et il faut être intolérant.
*
Bibliographie
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Regards
n°12, été 2011
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