La
vie est une aventure
Qui
part pour l’éternité.
Je
compte les encablures
Qui
traînent ma destinée.
.
Il
est dans mon destin de choisir mes amis
Parmi
ceux-là qui passent,
Et
de me trouver seul aux heures où la vie
Blesse
mon âme lasse.
.
N’as-tu
point d’autres souvenirs
Qu’une
montée de crépuscule ?
-
J’ai le souvenir qui me brûle
D’un
épuisant après-midi.
*
Bibliographie
- Je connais des îles lointaines,
éditions La Table Ronde, La petite vermillon, 2000
J'aime beaucoup et j'y sens, par transposition, les accents musicaux d'un Marin Marais, ou encore de Sainte Colombe.C.Ronsmans
RépondreSupprimer