dimanche 11 mai 2014

Louis Brauquier


La vie est une aventure
Qui part pour l’éternité.
Je compte les encablures
Qui traînent ma destinée.
.
Il est dans mon destin de choisir mes amis
Parmi ceux-là qui passent,
Et de me trouver seul aux heures où la vie
Blesse mon âme lasse.
.
N’as-tu point d’autres souvenirs
Qu’une montée de crépuscule ?
- J’ai le souvenir qui me brûle
D’un épuisant après-midi.

*
Bibliographie




- Je connais des îles lointaines, éditions La Table Ronde, La petite vermillon, 2000



1 commentaire:

  1. J'aime beaucoup et j'y sens, par transposition, les accents musicaux d'un Marin Marais, ou encore de Sainte Colombe.C.Ronsmans

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